A l'Auberge TATAYI puisqu'encore mon portable m'a été volé : 00 227 20 74 12 081
jeudi 20 mars 2008
mercredi 12 mars 2008
Gao le 12 Mars 2008 : la fin du voyage !
Koïma Hondo : la grande dune rose de Gao
Mon voyage s'achève à Gao.
J'ai traversé le Cameroun qui était en turbulence peu après mon départ .
Le Kenya traverse une période difficile.
Pour cela et peut être pour un signe du destin je reporte mon projet initial et prends le chemin du retour.
Mon avion décollera le 31 Mars de Niamey, pour un transit sur Alger ensuite je donne rendez vous à Fanny à Paris en attendant ma correspondance pour Riom-Chatel-Guyon, une minute d'arrêt.
Et donc selon mes prévisions passées ; j'arriverai le PREMIER AVRIL
Nathalie me parlait il y a peu du bilan de ce voyage.
"C'est pour les gens sérieux" a été ma réponse et je veux seulement aujourd'hui vous dire Merci de cette aventure partagée.
Mimie d'Afrique pour quelques jours encore
samedi 9 février 2008
ILITCH : Limbe et LE CAMEROUN
Je ne pouvais pas Ilitch ne pas te presenter cela fait presque 2 mois que je suis chez toi, dans ton pays vert, fruite et gourmand
Tu n'etais pas encore parti de chez Merck, moi pas encore chez toi, je t'avais propose un en-Ka dans la caravane au Camping de la Croze, avec l'ami Gerard
Incroyable grand-mere ! Nous avons ete copines tout de suite, avec le melange Guiness-Jus de pamplemousse a 9h du matin : c'la fait !
Ta mamam et Marlene tout le monde m'a gate j'ai ete pendant une semaine choyee et conseillee pour tout.
Le Cameroun s'eloigne a partir peut etre de Mardi
Tu n'etais pas encore parti de chez Merck, moi pas encore chez toi, je t'avais propose un en-Ka dans la caravane au Camping de la Croze, avec l'ami Gerard
Incroyable grand-mere ! Nous avons ete copines tout de suite, avec le melange Guiness-Jus de pamplemousse a 9h du matin : c'la fait !
Ta mamam et Marlene tout le monde m'a gate j'ai ete pendant une semaine choyee et conseillee pour tout.
Le Cameroun s'eloigne a partir peut etre de Mardi
Pour Jean-Marie ; le blog des hommes de Limbe
De Limbe, le 09 Fevrier 2008, ou je suis ( encore en week end ! ), et ou donc je te concocte une petite reponse sur la question : Tu parles plus souvent des femmes que des hommes !
J'ai reflechi sur la question je ne sais si tu as entierement raison, en tout cas VOILA
Incontestablement la premiere rencontre importante c'est Hicham, meme si aujourd'hui je corresponds davantage avec petite Rita.
Mes premiers pas sur le sol africain ont ete guide par Hicham et Rita, conseils en preparatifs et ajustement du materiel.
Mon coup de coeur . Issam a Marrakech, qui m'a appris tout le vocabulaire arabe que je connaisse meme si aujourd'hui j'ai quelque peu oublie son enseignement.
Enchanteur, genereux, calme et reflechi : Cheikh a Chinguetti, qui m'a heberge pendant 2 jours et chez qui j'ai lu toute une apres midi "Terre des hommes" de St Ex alors qu'il preparait inlassablement le the.
Gao, le seul qui m'ait reconcilie avec les guides : Moussa, sans qui je n'aurai pas connu le secret de Koima Hondo ( la dune rose )
Voila Jean-marie c'est chose faite et sans plus de commentaires.
Merci d'avoir souleve la question ...incongrue !
J'ai reflechi sur la question je ne sais si tu as entierement raison, en tout cas VOILA
Incontestablement la premiere rencontre importante c'est Hicham, meme si aujourd'hui je corresponds davantage avec petite Rita.
Mes premiers pas sur le sol africain ont ete guide par Hicham et Rita, conseils en preparatifs et ajustement du materiel.
Mon coup de coeur . Issam a Marrakech, qui m'a appris tout le vocabulaire arabe que je connaisse meme si aujourd'hui j'ai quelque peu oublie son enseignement.
Enchanteur, genereux, calme et reflechi : Cheikh a Chinguetti, qui m'a heberge pendant 2 jours et chez qui j'ai lu toute une apres midi "Terre des hommes" de St Ex alors qu'il preparait inlassablement le the.
Gao, le seul qui m'ait reconcilie avec les guides : Moussa, sans qui je n'aurai pas connu le secret de Koima Hondo ( la dune rose )
Voila Jean-marie c'est chose faite et sans plus de commentaires.
Merci d'avoir souleve la question ...incongrue !
jeudi 17 janvier 2008
Jeudi 17 Janvier 2008 : Limbe - Cameroun
Je suis debout....encore quelque peu vaillante,
pour être sincère
vous n'avez plus aucune raison d'être fière de moi :
Je suis au bout du monde
Plages de sable noir
Le flegme africain mêlé au flegme anglais
A parfois raison de mon entendement
Je n'ai plus d'appareil : PHOTO, ni même plus de MOBIL
OUT !
et donc moi : ALONE
J'ai tout de même pas trop le droit de me plaire : c'est un décor à la Hollywood Movie ici ....les palmiers, les cocotiers et les vagues....mais putain c'est dur !
Chris je pense à toi, courage et prend ton "pied" en patience
Je n'ai guère répondu à tous vos écrits mais
je les lis et ils me font du bien
J'aurai tellement de choses à vous raconter !
Samedi je reviens sur Douala,
pour visiter Julienne la maman d'Ilitch,
que j'ai eu au tel,
et j'ai vu avec beaucoup d'émotion l'endroit de son enfance
Ilitch je t'embrasse plein de fois
Christine un signe chaleureux pour toi
Ghita Merci de ta présence réconfortante
Nathalie je suis vivante ! tu viens quand ?
G63 je t'embrasse et merci même de Bruxelles tu réponds présente
Dominique M. t'avoir eu au tel : émotion vraiment
2 appels des Denise
et tous les autres les autres .....continuez continuez : JE VEUX VOUS LIRE !
Plein de bises
pour être sincère
vous n'avez plus aucune raison d'être fière de moi :
Je suis au bout du monde
Plages de sable noir
Le flegme africain mêlé au flegme anglais
A parfois raison de mon entendement
Je n'ai plus d'appareil : PHOTO, ni même plus de MOBIL
OUT !
et donc moi : ALONE
J'ai tout de même pas trop le droit de me plaire : c'est un décor à la Hollywood Movie ici ....les palmiers, les cocotiers et les vagues....mais putain c'est dur !
Chris je pense à toi, courage et prend ton "pied" en patience
Je n'ai guère répondu à tous vos écrits mais
je les lis et ils me font du bien
J'aurai tellement de choses à vous raconter !
Samedi je reviens sur Douala,
pour visiter Julienne la maman d'Ilitch,
que j'ai eu au tel,
et j'ai vu avec beaucoup d'émotion l'endroit de son enfance
Ilitch je t'embrasse plein de fois
Christine un signe chaleureux pour toi
Ghita Merci de ta présence réconfortante
Nathalie je suis vivante ! tu viens quand ?
G63 je t'embrasse et merci même de Bruxelles tu réponds présente
Dominique M. t'avoir eu au tel : émotion vraiment
2 appels des Denise
et tous les autres les autres .....continuez continuez : JE VEUX VOUS LIRE !
Plein de bises
mercredi 2 janvier 2008
Mercredi 02 Janvier 2008 : N'Djaména- Tchad
De N'Djaména je vous souhaite à tous une année 2008 la plus folle qui soit, pour d'autres je la souhaite la plus "salope" possible, en tous cas quelle soit la réalisation de vos rêves les fous, les plus déraisonnables.
Les aléas de l'aventure africaine m'ont rendu discrète ces derniers temps mais je suis à nouveau en partance et à bicyclette pour le Cameroun, dès demain.
Je remercie tous les curieux, les dingues, les fidèles du blog, aux messages vocaux, aux sms et tous les autres branchés pour les voeux, les encouragements, les conseils qui me font chaque jour avancer.
Dès que je me pose, après les péripéties de ces derniers temps, je vous envoie des ...photos...des anecdotes.
Illitch prépare toi, j'arrive dans ton pays...et j'ai déjà un contentieux avec ta patrie, en la personne de Marie de Douala, nous partagions le même dortoir et elle en a profité pour me dérober mon appareil numérique et mon flacon de parfum.
J'ai encore la chance qui m'a souri : la veille j'avais mis toutes mes photos sur CD.
Je vous embrasse très fort
Mimie d'Afrique
Les aléas de l'aventure africaine m'ont rendu discrète ces derniers temps mais je suis à nouveau en partance et à bicyclette pour le Cameroun, dès demain.
Je remercie tous les curieux, les dingues, les fidèles du blog, aux messages vocaux, aux sms et tous les autres branchés pour les voeux, les encouragements, les conseils qui me font chaque jour avancer.
Dès que je me pose, après les péripéties de ces derniers temps, je vous envoie des ...photos...des anecdotes.
Illitch prépare toi, j'arrive dans ton pays...et j'ai déjà un contentieux avec ta patrie, en la personne de Marie de Douala, nous partagions le même dortoir et elle en a profité pour me dérober mon appareil numérique et mon flacon de parfum.
J'ai encore la chance qui m'a souri : la veille j'avais mis toutes mes photos sur CD.
Je vous embrasse très fort
Mimie d'Afrique
jeudi 29 novembre 2007
Jeudi 29 Novembre 2007: A Jean-Marie
Dédié spécialement pour toi Jean-Marie, pour ta surprenante amitié et ton soutien par messages vocaux qui sont à chaque fois un petit bonheur.
Je m'adresserai donc à toi, et remettrai ma réponse à plus tard, sur ta remarque : " tu parles souvent des femmes pas beaucoup des hommes".
Je te promets que cela fera l'objet du blog prochain.
Mercredi 14 Novembre 2007, je m'embarque sur le ferry de la COMANAV, qui me conduira à Gao, son empire songhaï et ses rues sablonneuses.
Voyage éreintant, en quatrième classe.
Tu aperçois mon vélo au premier étage sur le pont ?
J'ai dormi deux nuits, assise sur une chaise, les trois suivantes, un mousse a eu pitié de moi.A trois du matin, le début de sa journée de travail, je prenai sa place, derrière les moteurs, au chaud donc....mais au bruit !
Heureusement voyage en partie joyeux et convivial avec la rencontre de Joseph, le toulousain, qui ponctuait nos repas d'histoires truculentes et plus sérieusement René et Marie-Hélène en partance pour le Burkina-Fasso.
Au fil de l'eau s'étalaient les villages des Bozos, ethnies de pêcheurs, avec leurs cases rudimentaires en pisé.
Des peuples isolés de presque tout.
Les rives du Niger abritent des scènes d'une diversité époustouflante : tout se fait, tout est permis, l'inhibition n'est pas de mise, on pisse dans le Niger, on le boit, on se lave, on lave sa vaisselle, son linge....les chèvres et les motos.
Lorsque le bateau accoste un étrange ballet s'orchestre , le commerce est alors à double sens : les commerçants des rives vendent aux commerçants à bord et vice et versa.
Tout est alors cris et harangues, il faut faire vite et discuter ferme.
Le bateau s'arrête parfois quinze minutes, quelquefois deux heures.
On peut alors aller à la découverte des villages côtiers : NIAFOUNKE, BOUREM, GOURMA-RAHOUS.
Jean-Marie, si je devais parler des hommes ce serait des guides.
Etre européenne et blanche ne permet pas de flâner seule.
Une armada de deux, voire trois guides vous propose une visite accompagnée.
Il n'y a pas d'alternative : c'est l'acceptation ou la colère.
Moussa était mon guide à Gao, moins pressant et plus attentif.
Ayant entendu ma demande, d'être tranquille, il me suivait discrètement et me remettait dans la bonne direction lorsque je me trompai, sans s'imposer jamais.
J'ai découvert la Dune Rose ( Komaï Hondo en sonrhaï ) avec l'aide d'un piroguier et les explications de Moussa, en traversant les rizières peuplées des nids des oiseaux et parsemés de nénuphars.
Je m'adresserai donc à toi, et remettrai ma réponse à plus tard, sur ta remarque : " tu parles souvent des femmes pas beaucoup des hommes".
Je te promets que cela fera l'objet du blog prochain.
Mercredi 14 Novembre 2007, je m'embarque sur le ferry de la COMANAV, qui me conduira à Gao, son empire songhaï et ses rues sablonneuses.
Voyage éreintant, en quatrième classe.
Tu aperçois mon vélo au premier étage sur le pont ?
J'ai dormi deux nuits, assise sur une chaise, les trois suivantes, un mousse a eu pitié de moi.A trois du matin, le début de sa journée de travail, je prenai sa place, derrière les moteurs, au chaud donc....mais au bruit !
Heureusement voyage en partie joyeux et convivial avec la rencontre de Joseph, le toulousain, qui ponctuait nos repas d'histoires truculentes et plus sérieusement René et Marie-Hélène en partance pour le Burkina-Fasso.
Au fil de l'eau s'étalaient les villages des Bozos, ethnies de pêcheurs, avec leurs cases rudimentaires en pisé.
Des peuples isolés de presque tout.
Les rives du Niger abritent des scènes d'une diversité époustouflante : tout se fait, tout est permis, l'inhibition n'est pas de mise, on pisse dans le Niger, on le boit, on se lave, on lave sa vaisselle, son linge....les chèvres et les motos.
Lorsque le bateau accoste un étrange ballet s'orchestre , le commerce est alors à double sens : les commerçants des rives vendent aux commerçants à bord et vice et versa.
Tout est alors cris et harangues, il faut faire vite et discuter ferme.
Le bateau s'arrête parfois quinze minutes, quelquefois deux heures.
On peut alors aller à la découverte des villages côtiers : NIAFOUNKE, BOUREM, GOURMA-RAHOUS.
Jean-Marie, si je devais parler des hommes ce serait des guides.
Etre européenne et blanche ne permet pas de flâner seule.
Une armada de deux, voire trois guides vous propose une visite accompagnée.
Il n'y a pas d'alternative : c'est l'acceptation ou la colère.
Moussa était mon guide à Gao, moins pressant et plus attentif.
Ayant entendu ma demande, d'être tranquille, il me suivait discrètement et me remettait dans la bonne direction lorsque je me trompai, sans s'imposer jamais.
J'ai découvert la Dune Rose ( Komaï Hondo en sonrhaï ) avec l'aide d'un piroguier et les explications de Moussa, en traversant les rizières peuplées des nids des oiseaux et parsemés de nénuphars.
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